Angela rencontrera-t-elle Alexis ? Alexis arrêtera-t-il de dire tout et son contraire ? Jean-Claude finira-t-il par arrêter de bouder et se réconciliera-t-il avec son « ami » Alexis ? Christine arrêtera-t-elle de manier le bâton et la carotte ? L’appel à « la raison » de François finira-t-il par avoir raison de tout ?
Depuis quelques semaines, le « feuilleton » grec a tout du soap opera. Ses acteurs principaux vont de « sommets » infructueux en rendez-vous ratés, oscillent entre grandes promesses et petits mensonges, gros espoirs et énormes déceptions.
Au point qu’aujourd’hui, les nerfs sont à vif. Et qu’à force de nuits blanches et de migraines, la plupart des acteurs pourraient bien se préparer « des nervous breakdown », pour paraphraser l’une des répliques culte du film Les Tontons flingueurs.
Pourtant, il y a huit jours, l’accord « réformes contre argent frais » entre la Grèce et ses créanciers – Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international (FMI) – semblait à portée de main. Une impulsion politique notoire avait été donnée à Berlin, le 1er juin, par la chancelière allemande Angela Merkel et le président français, François Hollande.
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