Joana Vasconcelos, artiste portugaise née à Paris, sera la première de son genre à investir Versailles. (Photo François Bouchon/ Le Figaro) Crédits photo : FRANCOIS BOUCHON
Du 19 juin au 30 septembre, Joana Vasconcelos sera la première femme à exposer dans les appartements royaux, après une lignée d'artistes mâles, Jeff Koons, Xavier Veilhan et Takashi Murakami. En 17 oeuvres monumentales, dont 8 nouvelles produites spécialement pour le Château, Joana proposera un autre Versailles. Sans dévoiler le clou de son projet - celui de la Chambre de la Reine, forcément, une «Perruque» en acajou et cheveux blonds-, Joana la francophone a donné des indices in situ en s'appuyant des photomontages de son iPad. «Mary Poppins», sorte de chimère en tricot et crochet faits à la main, accueillera le visiteur dès l'escalier de tous ses pompons, galons, boutons, et autres clins d'oeil aux valeurs dites féminines. Référence au glamour de Hollywood, à l'Eternel féminin et aux souliers rouges de Dorothée dans Le Magicien d'Oz, «Marilyn», paire d'escarpins géants tout en casseroles et couvercles d'inox étincelant, trônera au coeur de la Galerie des Glaces. Pour la première fois, la Galerie des Batailles aux 35 grandes peintures historiques abritera de l'art contemporain. Soit des «Valkyrie», suspendues comme des Martiennes, dont la texture ira du plus noble (soie et or) au plus rustique, comme Marie-Antoinette vagabondant du Château du Roi auTrianon.
Du 19 juin au 30 septembre, Joana Vasconcelos sera la première femme à exposer dans les appartements royaux, après une lignée d'artistes mâles, Jeff Koons, Xavier Veilhan et Takashi Murakami. En 17 oeuvres monumentales, dont 8 nouvelles produites spécialement pour le Château, Joana proposera un autre Versailles. Sans dévoiler le clou de son projet - celui de la Chambre de la Reine, forcément, une «Perruque» en acajou et cheveux blonds-, Joana la francophone a donné des indices in situ en s'appuyant des photomontages de son iPad. «Mary Poppins», sorte de chimère en tricot et crochet faits à la main, accueillera le visiteur dès l'escalier de tous ses pompons, galons, boutons, et autres clins d'oeil aux valeurs dites féminines. Référence au glamour de Hollywood, à l'Eternel féminin et aux souliers rouges de Dorothée dans Le Magicien d'Oz, «Marilyn», paire d'escarpins géants tout en casseroles et couvercles d'inox étincelant, trônera au coeur de la Galerie des Glaces. Pour la première fois, la Galerie des Batailles aux 35 grandes peintures historiques abritera de l'art contemporain. Soit des «Valkyrie», suspendues comme des Martiennes, dont la texture ira du plus noble (soie et or) au plus rustique, comme Marie-Antoinette vagabondant du Château du Roi auTrianon.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire