Photo Luke MacGregor/Reuters
Un célèbre tableau de Vincent Van Gogh d'une valeur de 43 millions d'euros a disparu du musée du Caire, samedi. Et malgré une première annonce prématurée, l'oeuvre reste introuvable.
Recherche Arsène Lupin des temps modernes capable de dérober un tableau de maître en plein jour. Le lieu du vol, le musée Mahmoud Khalil, est réputé pour posséder en son sein l'une des plus belles collections au Proche-Orient d'oeuvres d'art des XIXe et XXe siècles. Parmi la collection réunie par Mohammed Mahmoud Khalil, un homme politique - ancien ministre de l'Agriculture - décédé en 1953, des oeuvres de Gauguin, Monet, Manet, Renoir, Degas ou Van Gogh, dont les célèbres «Coquelicots», le tableau subtilisé samedi. Samedi soir, l'agence égyptienne Mena, sur la foi de déclaration du ministre de la Culture, Farouk Hosni, avait annoncé les arrestations d'un couple de touristes italiens à l'aéroport du Caire. «Deux Italiens, un homme et une femme, ont été arrêtés en possession du tableau alors qu'ils tentaient de quitter le pays», affirmait alors le ministre de la Culture. Comme dans le film «Thomas Crown» , la toile avait été «découpée puis retirée de son cadre après l'ouverture du musée».
Recherche Arsène Lupin des temps modernes capable de dérober un tableau de maître en plein jour. Le lieu du vol, le musée Mahmoud Khalil, est réputé pour posséder en son sein l'une des plus belles collections au Proche-Orient d'oeuvres d'art des XIXe et XXe siècles. Parmi la collection réunie par Mohammed Mahmoud Khalil, un homme politique - ancien ministre de l'Agriculture - décédé en 1953, des oeuvres de Gauguin, Monet, Manet, Renoir, Degas ou Van Gogh, dont les célèbres «Coquelicots», le tableau subtilisé samedi. Samedi soir, l'agence égyptienne Mena, sur la foi de déclaration du ministre de la Culture, Farouk Hosni, avait annoncé les arrestations d'un couple de touristes italiens à l'aéroport du Caire. «Deux Italiens, un homme et une femme, ont été arrêtés en possession du tableau alors qu'ils tentaient de quitter le pays», affirmait alors le ministre de la Culture. Comme dans le film «Thomas Crown» , la toile avait été «découpée puis retirée de son cadre après l'ouverture du musée».
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